Bonjour tout le monde !
Aujourd'hui, petite critique d'un album sorti il y aquelques mois de cela déjà : "Authentik" de le chanteuse KENZA FARAH !
Voici le track-listing :
1 | Dans mon monde | |
2 | Je me bats | |
3 | Moi j'ai 20 ans | |
4 | Où va le monde | |
5 | Lettre du front - Featuring Sefyu | |
6 | Il m'a trahie | |
7 | Dans les rues de ma ville | |
8 | rop d'flow - Featuring Big Ali |
Avant de commencer, laissez-moi vous présenter Kenza ou plutôt Farah de son vrai prénom. Cette chanteuse de Marseille puise ses origines du nord des montagnes de l'Atlas.
Connue récemment grâce à son titre "Je me bats" et au clip diffusé très largement sur toutes les chaînes musicales généralistes, Kenza vient devant nous avec un album que l'on remarquera très intimiste.
"Je me bats" montre à quel point la chanteuse est ière de son parcours et à quel point elle attache de l'importance à l'image qu'elle a. C'est sympa, petite introspective sur sa vien, petit flashback qui va avec. On en connaît un peu plus sur la vie de l'artiste.
Très portée sur les featuring avec la compagnie du Rat Luciano (Fonky Family), Idir, Sefyu ou encore Le Silence des Mosquées, Kenza Farah, s'égare un peu dans le rap français, hardcore de surcroît, en faisant un peu trop sur certains de ces titres. Je me demande toujours comment le célèbre chanteur algérien Idir a pu accepté de chanter avec elle, mais bon , je ne m'attarderais pas sur ce point.
Pour rester dans le même style, Kenza innove avec le trop mauvais "Appelez-moi Kenza" une hymne à elle-même et à sa propre personne comme le font aujourd'hui Rohff ou encore Dabbaz (mais ce dernier le fait exprès). De même , il faudrait écouter Trop d'flow (ça veut dire quoi ?) où la chanteuse s'accompagne du Fatman Scoop français : j'ai nommé Big Ali.
Certaines mélodies, interprétées au piano, ont quand même le mérite d'être de vraies réussites je citerais "Cris de Bosnie" ou encore "Les enfants du Ghettos" avec des revendications portées sur la guerre et le droit des enfants. Je lui tire mon chapeau pour sa dernière piste mais il ne faut pas dire qu'il y a des ghettos au Cambodge et en Colombie (Bidonville mais pas Ghetto, attention à utiliser le mot correct !!! )
A mi-chemin, entre une Diam's et un Rohff qui se la pête de trop (mdr qu'est-ce-que je lui mets dans la gueule à ce pauvre Rohff), Kenza Farah est une artiste qui mérite qu'on s'intéresse un temps soit peu à son album. Elle a un bon flow, le rythme dans la peau mais quelque chose fait que ça cloice quand on écoute l'album . Peut-être cela vient-il du fait qu'on a la réell impression que quelque chose ne sonne pas juste.
Enfin, à vous de me le dire, je vous laisse réflechir sur ces quelques mots...
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