Hey, c'est pas tous les jours que je me transforme en critique musical mais aujourd'hui je franchis le pas, et mets mes plus belles lunettes, prends mon air le plus hautain possibles, me fait une petite mêche et m'attable au PC (vous noterez l'image que je me fais des critiques musicaux - ironie inside).
Ah, j'oubliais le détail qui tue : la cigarette histoire de vraiment me mettre dans la peau du personnage (malheureusement, je suis au boulot, y'aura pas de clopes pour moi :-D).
Today, j'ai envie de vous parler du dernier album des Svinkels : "Dirty Centre" sorti vers la mi-juin.
Mais, avant de rentrer dans le vif du sujet, laissez-moi vous dire quelques mots concernant le trio.
Les Svinkels, originaires de Paris, ont fait leur début en 95 tout d'abord sur des mixtapes avant de sortir leur album "Juste fais-le". Leur nombreuses collaborations avec le groupe TTC leur a permis de se faire une réputation dans le milieu du rap cradcore (néologisme de Gérard Baste pour montrer que leur musique est un mélange de crade et de hardcore) et underground.
Svinkels est le nom de la bière à bas prix que les memmbres du groupes consommaient lorsqu'ils étaient jeunes, nom qui est resté pour devenir le patronyme du groupe.
Sans plus attendre, voici le tracklisting de l'album :
1. Le club de l'apocalypse
2. Droit dans le mur
3. Faites du bruit
4. Du PQ (pour mon trou-trou)
5. La ferme
6. La youte
7. Dirty centre
8. C'est des cons
9. Ultras festifs
10. La fugue (serie noire II)
11. La tour eiffel
12. Tout nu yo !
13. Le blues du tox
14. On ferme
Il y a deux manières d'écouter cet album.
- Soit on connaît le groupe et ses trips cradcores et on commence par la quatrième piste "Du PQ pour mon trou-trou" et là, c'est l'hilarité généralisé, on est plié en deux du dbut à la fin, c'est électro tout plein, les paroles sentent bon la rose (enfin la couleur du papier) et on a pas fini de reprendre le bridge en choeur : "Si un bon génie pouvait exaucer trois voeux : j'veux la triple épaisseur ouais j'ai le cul en feu".
S'ensuit "la ferme" et le foutage de gueule de tous ces stars has-been (dixit les Svinkels), Puis , c'est piste 8 et 13 pour les délires alcoolisés : made in Svinkels !
- Sinon on écoute le disque de bouten bout en commençant par "le club de l'Apocalypse", chansons sympa mais sans plus, Après, on se laisse aller par la musique, les mélodies et les paroles : on commence à apprécier les Svinkels à leur juste valeur, ça s'améliore de piste en piste, ça fait l'effet d'une claque.
Bref, je ne conseillerais pas d'écouter cet album sans connaître un peu le trip des Svinkels car c'est à ne pas comprendre leur monde. Avant de vous plonger dans Dirty Centre, je vous conseillerais d'écouter d'abord des titres comme "Céréales Killer" ou "Comment ça" (feat. Triptik) hsitoire de mieux comprendre leur trip. C'est ensuite que vous pourrez déguster, paré, ce troisième opus du groupe.
Retrouvez cet album sur Deezer.
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